Auteurs

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Jacques-Henri Tournadre, l'illustrateur

Jacques-Henri Tournadre est né à Saint-Ouen (93). Après des études aux Beaux Arts de Paris, il débute dans la Bande dessinée et reçoit en 1982 le prix « Alfred-Avenir » au Festival international de la bande dessinée d’Angoulême. Il publie plusieurs albums chez Dargaud, Vents d’ouest, Glénat, Humanoïdes Associés, sur des scénarios de Pierre Christin, Rodolphe et Pierre-Yves Trano.

Il intègre ensuite l’agence de publicité Publiland en tant qu’illustrateur et réalise de nombreuses illustrations ainsi que des bandes dessinées de communication. 

Il publie ensuite des livres jeunesses dont Polo l’hippo.

Le style de J.-H.Tournadre est réaliste et précis, mais il peut être onirique et poétique notamment quand il se consacre a la peinture dans un style fantastique, imaginant un monde à la fois organique et mécanique ou les êtres vivants se confondent avec les machines, revisitant ainsi l’univers de la Bande dessinée.


Bandes dessinées :

  • Une femme est morte quai des aléas, Métal Hurlant
  • Belle journée pour Berna Lee, journal Pilote
  • Un cercle Magique, scénario Pierre Christin, Editions Dargaud
  • Route des falaises, scénario Rodolphe, Editions Vents d’Ouest
  • L’œil du Maître, scénario Pierre Christin, Editions Humanoïdes Associés
  • Irvin California Zéphyr, scénario Pierre-Yves Trano, Editions Glénat

Bandes dessinées de communication pour :

  • Groupe Brandt, Aréva, Lagardère Active.

Livres jeunesse :

  • Polo l’hippo, Polo veut monter devant, Editions Eténa.
  • Polo l’hippo, Polo ne veut pas se lever, Editions Eténa
  • Polo l’hippo, Polo fait une bêtise, Editions Eténa
  • Polo l'hippo, Polo part faire la fête, Editions Etena
  • Trop c’est trop, Editions de la bulle verte

Didier Dufresne, le scénariste

Didier Dufresne, 1,77 m, 67 kg...

Profession : rêveur.



L’année où je suis né, un cosmonaute faisait déjà son premier vol dans l’espace. C’est vous dire que le monde ne m’avait pas attendu pour exister. La plupart des territoires étaient explorés, les dernières tribus découvertes, le moteur à explosion inventé... Autant dire qu’il ne me restait plus grand-chose à faire.


Après avoir longtemps hésité, j’ai donc décidé de devenir rêveur professionnel, métier pour lequel j’avais, semble-t-il, quelques aptitudes. 

Bien sûr, ce métier ne m’a pas nourri tout de suite. Je dois avouer que, pendant plus de vingt ans, j’ai fourni ce qu’on appelle « un vrai travail ». J’ai donc d’abord été longtemps instituteur...


Ce sont sans doute mes élèves qui m’ont aidé à réaliser ma vocation en me confiant un peu de leurs rêves. C’est ainsi qu’un jour de juin, j’ai tout envoyé promener : mes élèves, le tableau, la boîte de craies, le bureau et la cour de récréation...  De tout ça, je n’ai gardé que de très bons souvenirs, deux ou trois vieux cahiers et un crayon à papier.


Rêveur professionnel depuis maintenant plus de 25 ans, je n’ai jamais regretté mon choix. Mes rêves ont donné naissance à une centaine de livres, me permettent de rencontrer des milliers d'enfants chaque année et m'offrent des voyages merveilleux dans d'autres pays que le mien.



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